Stress et blues du dimanche soir : solutions
L’angoisse du dimanche soir se traduit par une forme d’anxiété par anticipation mêlée de lassitude. Ce phénomène est souvent provoqué par l’idée du retour au travail. Cet éternel recommencement flanque un coup au moral. Le dimanche soir sonne la fin de la récré et le retour parfois abrupt à la réalité. Il faut alors sortir de son antre, de son nid douillet pour retrouver le tumulte, l’effervescence du travail entre épuisement professionnel, coupes budgétaires, ambiance qui se dégrade, surconnectivité. Le dimanche soir rime alors souvent avec blues et stress. Difficile de ne pas déprimer et se laisser gagner par le stress quand on s’apprête à rempiler pour une semaine chargée. On parle de stress, de blues du dimanche soir. Toutefois, ces angoisses surviennent plutôt en fin d’après midi sur les coups de 17h. On se prépare alors à retrouver sa routine, la rigidité du cadre pro, des journées longues et répétitives qui contrastent avec la décontraction du week-end. Pour d’autres, cette peur du dimanche soir fait écho à la peur de l’inconnu, l’incertitude, la projection mentale trop poussée, les hypothèses trop nombreuses. Souvent, ce sont les conditions de travail qui engendrent cette déprime et ces angoisses.
50 % des Français ont le blues et dorment mal en pensant à la reprise du travail le lendemain. Voilà ce que révèle une étude du groupe Monster, 52 % des travailleurs français souffrent de troubles du sommeil dans la nuit du dimanche au lundi. Le dimanche marque une brèche temporelle angoissante. Une enquête a conclu que l’heure du blues du dimanche correspondait à 15 h 58, Beaucoup se sentent frappés par un « spleen ». Apathiques et démotivés, ils ne mettent pas cette journée à contribution et ont tendance à ruminer.
Se débarrasser des “corvées” du week-end dès le vendredi
Si vous voulez éviter le blues, la déprime et le stress du dimanche soir, abattez votre charge de travail le plus tôt possible. Effectuez vos corvées le vendredi. Ainsi, vous ne consacrerez pas votre journée du dimanche à des taches rébarbatives qui amplifieront votre mal être et vous donneront l’impression de jouer les fées du logis. Repassage, nettoyage, lessive : ne planifiez pas tout le dimanche. En effet, vous risquez d’alourdir votre charge mentale et n’aurez pas de transition pour la reprise du lundi.
S’entraîner à mentaliser le lundi pour éviter les angoisses du dimanche
Dimanche, vous vitupérez, vous ne cessez de geindre, de vous lamenter : soupirs, vous trainez des pieds et répétez à quel point le retour au travail du lundi vous plombe le moral et vous stresse ? Apprenez à identifier toutes les raisons de vos angoisses pour les remplacer par leur versant positif. Exemple : “C’est déjà lundi , j’ai l’impression que le week-end est passé à la vitesse de l’éclair”. Reformulation : “C’est déjà dimanche soir ? Le temps a filé ce qui prouve que j’ai bien profité”.
Plutôt que de garder en ligne de mire le vendredi soir synonyme de délivrance, fixez-vous des échéances plus proches. Ce sont des sortes de mini réjouissances, des avant gouts du week end à venir pour multiplier les objectifs et échéances et calmer vos impatiences. Par exemple boire un verre le mercredi soir, voir un film le mardi soir, se prévoir un resto. Essayez de prévoir à chaque fin de journée une activité “récompense” qui vous fera du bien (yoga, plateau télé).
Planifier des activités pour le dimanche soir contre le blues, le stress
Ne faites pas rimer le dimanche soir avec grisaille, morosité. Mettez ce repos dominical à profit pour concocter votre prochain week-end ou vos prochaines vacances (achat des billets, débusquer des offres). Cette initiative feel good lutte contre le laisser aller et la résignation et vous met du baume au cœur. Se projeter, se fixer des buts permet de combattre la lassitude. De plus, visualiser des lieux ou des situations agréables apporte une dose de sérotonine au cerveau. Autre solution contre le blues et le stress du dimanche : établir des rituels. Tous les dimanches soir, prévoyez un rituel “jeux de société”, “cinéma”… L’objectif étant de combler le temps que vous pourriez passer à ruminer et à vous apitoyer sur votre sort avec des activités vous permettant de détourner votre esprit de vos impératifs.
Mieux gérer le stress et la pression avec des compléments
Votre travail vous stresse ? Le dimanche vous appréhendez la reprise et votre week end ne vous suffit pas à recharger les batteries et à vous ressourcer pleinement ? Vous rechignez à la tache ? Ne vous sentez pas complètement épanouis ? Vous avez du mal à vous mettre le pied à l’étrier et vous songez au stress que vous allez encaisser dans la semaine ? N’attendez pas le point de non retour. Si vous souffrez du blues, de l’angoisse du dimanche soir c’est que votre travail cristallise un grand nombre de tensions : inutile d’occulter le problème. Le stress chronique au travail est quasi inévitable : remontrances, course à l’excellence, vous avez beau compenser le week end, ce stress ressenti fait de votre semaine un supplice. Des compléments alimentaires peuvent vous aider à combattre ce blues, cette déprime.
Plutôt que de serrer les dents et de faire le dos rond, faites confiance aux compléments alimentaires sous forme de cure comme le complément Epuisement. Ce complément agit en prévention du burn out. Cette solution naturelle vous aidera à positiver, à évacuer le trop plein de stress et à vous débarrasser de votre fatigue mentale qui vous mine et vous fait ressentir un stress, une peur le dimanche soir. Avec le complément Epuisement, clarifiez votre esprit, gardez la tête froide, et retrouver votre calme face à des situations stressantes. Vous serez ainsi plus détendus, moins stressés le dimanche soir et appréhenderez le lundi avec plus de sérénité. Ce complément alimentaire agira également sur votre humeur et votre enthousiasme. Il reboostera votre moral et vous donnera l’énergie nécessaire pour affronter la semaine.
Garder le week-end les bonnes habitudes de la semaine
Le week-end nous offre une parenthèse de détente et une flexibilité des horaires, qui contrastent avec le rythme régulier de la semaine. Le relâchement, la souplesse et la modification des habitudes alimentaires ou du rythme du sommeil peut être mal vécus par le corps.
- Si vous êtes adeptes des grasses matinées, n’excédez pas les 2 h 30 par rapport à votre heure de réveil en semaine.
- Si vous souhaitez faire une sieste, préférez un repos de 20 minutes. Au delà vous risquez de ressentir une sensation de flottement au réveil et de ne pas réussir à vous endormir le dimanche soir, ce qui risque d’exacerber votre stress.
- Si vous avez des pensées négatives, faites une promenade. Les mouvements cadencés des yeux pendant une marche, alliés à l’oxygénation de l’organisme, libèrent l’esprit.
Le blues et l’angoisse du dimanche est prégnant chez des sujets présentant une sensibilité aux changements de rythme, à la chrono-biologie, alors gardez un rythme régulier. Trop dormir et mal s’alimenter peut aussi avoir un impact sur la sérotonine, le neurotransmetteur responsable de notre moral. Pour éviter cet état de torpeur, n’hésitez pas à garder des relations sociales, même à distance. Organisez votre weekend avec des heures de coucher et de lever assez proches de celles de la semaine, en conservant une alimentation équilibrée.
Pratiquer une activité physique et éviter la sédentarité
L’exercice physique vous remontera le moral et vous libérera de vos tensions nerveuses du dimanche. En stimulant la production d’hormones et de neurotransmetteurs comme les endorphines, la dopamine ou la sérotonine. Le sport apporte relaxation et bonne humeur. Les sports comme la natation ou permettant d’évoluer dans l’eau permettent de se délasser. L’apesanteur procuré par le flottement du corps permet de décontracter les muscles. Les sports d’endurance comme la marche rapide, le vélo, la course sont aussi bénéfiques pour chasser le stress et positiver. Ils permettent de se recentrer sur l’essentiel pour évacuer les pensées négatives. Lors de l’effort, le système cardiovasculaire est stimulé, des endorphines sont libérées afin de renouer avec un calme intérieur. Alors chaussez vos baskets et partez vous oxygéner pour chasser vos tensions.